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Un rucher sans connaissances

Je m’appelle Fred, apiculteur depuis plus de 20 ans.

La recherche de la productivité maximale ne devrait pas intéresser les apiculteurs de loisir. Mon but est de vous aider à  démarrer ou redémarrer en “mode sans échec” en mettant toutes les chances de votre côté.

J’ai essayé bon nombre de pratiques apicoles et essuyé bon nombre d’échecs, ce qui m’a permis de clairement identifier ce qui marche et surtout ce qui ne marche pas.

J’aime partager la simplicité des pratiques alliées aux conduites naturelles.

Dans les lignes qui suivent, vous allez découvrir comment vous pouvez vous assurer d’avoir une production de miel sans connaissance préalable, tout en préservant vos abeilles.

Un principe bête comme chou

Imaginez une solution pour obtenir des ruches saines populeuses et prêtes à produire tôt au printemps, sans risque d’erreurs, sans passer par des nourrissements de stimulation aux sucres industriels (voire issus de cultures OGM), sans devoir transhumer vos ruches et surtout sans passer par un apprentissage interminable.

Apprendre l'apiculture

Vous êtes ici parce qu’il vous manque probablement quelque chose

  • Est-ce que vous n’avez pas toujours rêvé d’avoir des ruches mais la peur de faire partie des 40% des apiculteurs amateurs qui échouent vous freine ?
  • Peut-être avez-vous déjà tenté l’aventure et avez rapidement abandonné suite à la perte de vos colonies ?
  • Est-ce que parfois vous n’en avez pas assez d’être frustré de ne pas savoir par où commencer en apiculture?
  • Vous est-il arrivé de vous sentir prédestiné à l’apiculture alors même que vous n’arrivez pas aux résultats escomptés quand d’autres, moins impliqués, réussissent nettement mieux?
  • N’en avez-vous pas assez d’avoir le rêve au bout des doigts sans jamais pouvoir le toucher?

Rassurez-vous, vous n’êtes pas seuls. La grande majorité des apiculteurs qui réussissent sont passés par là, à un moment ou à un autre.

Ne tombez pas dans le piège de l’évidence

Vous avez peut-être déjà essayé (ou vous avez dans l’idée d’essayer) de démarrer l’apiculture en achetant un essaim ou une ruche complète chez un marchant de matériel apicole et de la placer à proximité d’une source de miel importante, comme une châtaigneraie, un champ de lavande, un milieu vierge comme une forêt etc…
Et comme 90% de ceux qui abordent l’apiculture de cette manière, et malgré tous vos efforts, ça n’a pas marché. C’est tout à fait normal, ça ne peut pas fonctionner sur cette seule base.

Focalisez-vous sur l’origine du problème et non sa conséquence.

Le vrai problème finalement, ce n’est pas tant d’avoir obtenu de mauvais résultats malgré les précautions prises pour la récolte. Ce n’est pas non plus de croire que de mauvaises conditions météorologiques ont ruiné votre récolte cette année et que par conséquent, l’année prochaine sera meilleure.
Non. Le vrai problème est que l’abeille obéit à un cycle annuel précis dont la récolte n’est pas le commencement mais bien la fin.
Lorsque les contraintes annuelles de la ruche sont respectées, la récolte va de soi, même dans un milieu sans miellée notable.

 

De quoi avez-vous besoin ?

Ce qu’il vous faut pour réellement répondre à vos besoins, c’est une méthode simple pour justement donner les moyens nécessaires à vos colonies de se préparer naturellement à la récolte, à son rythme, tout en préservant sa pérennité, et sans avoir recours aux méthodes artificielles de préparation ou de déplacement des ruches.

Une méthode simple

Prenons une pratique très fréquente, et que j’ai longtemps appliquée pensant prendre soin de mes abeilles. Vous le savez peut-être déjà, à l’automne la ruche élève des abeilles spéciales que l’on appelle « d’hiver ». Contrairement aux abeilles classiques, ces abeilles doivent vivre plusieurs mois pour assurer la survie de la colonie au printemps, la reine ne pondant pas ou très peu durant l’hiver.

Nous autres apiculteurs, que faisons nous ? Nous prélevons plusieurs récoltes dans la ruche dont une petite récolte en fin d’été. Mais nous les aimons nos abeilles. Alors pour compenser nos prélèvements de miel, nous remplissons les ruches de sirop de sucre afin qu’elles emmagasinent suffisamment de réserves pour bien passer l’hiver et ne meurent pas de faim.

Mais alors ces abeilles sont élevées sur la base de ce pseudo miel ! Qui plus est, elles vont s’en nourrir durant tout l’hiver.

A la sortie de l’hiver, vous aurez une ruche en situation de carence, qui devra dépenser le peu d’énergie qui lui reste (entendez abeilles) pour aller récolter les ressources nécessaires à son redémarrage. Vous savez sûrement oh combien les éléments qui composent le miel sont variés et complexes.

La question est donc de savoir si l’on veut des abeilles d’hiver qualité miel ou qualité sucre…

J’ai mis du temps à comprendre et appliquer cette règle tellement elle est simple!

Si l’on veut s’assurer d’avoir de bonnes ruches et de bonnes récoltes, il suffit de s’interdire de récolter ce dont elles ont besoin pour passer l’hiver, et surtout en cas de manque de réserves à l’automne, de nourrir au miel et non au sirop (attention sur ce point, des précautions sont à prendre). Plus important que tout lorsqu’on recherche un emplacement pour ses ruches, c’est d’opter pour celui qui offrira des ressources suffisantes à l’automne, quitte à délaisser le plus attrayant des ruchers offrant de fortes miellées de printemps. Vous serez ainsi assuré d’avoir des ruches fortes et prêtes à la récolte tôt au Printemps. C’est absolument essentiel et systématiquement payant.

Bien entendu, ce n’est pas la seule consigne à appliquer, et il y en a énormément. Mais cette méthode à elle seule vous garantit un redémarrage sain et prometteur au printemps.

Du cumul de ces techniques dépend votre réussite.

Pour s’assurer de correctement implanter et peupler vos ruches, de nombreuses techniques de ce type sont à appliquer et à cumuler.
C’est pourquoi, je vous ai préparé un système vous prenant par la main de A à Z, vous aidant à implanter vos ruches sur le bon emplacement (même si vous ne disposez pas de terrain), dans les meilleures conditions, et avec mes meilleures pistes pour peupler vos ruches.

Vous allez pouvoir tout reprendre et (re-)partir de zéro, en agissant étape par étape.

Ce que vous allez y apprendre :

 

L’emplacement du futur rucher

  • NVous allez découvrir les 5 grandes sources d’emplacements pour votre futur rucher.
  • NUne fois les sources d’emplacements identifiées, vous saurez où et comment les dénicher.
  • NVous verrez quels sont les critères à prendre en compte pour éliminer immédiatement certains emplacements qui risqueraient de conduire vos colonies à leur perte.
  • NUn nouvel emplacement doit comporter des caractéristiques à ne pas négliger. Nous allons voir ensemble sur quoi il ne faut pas faire l’impasse et pourquoi.

L’art du placement des ruches

  • NVous allez apprendre à situer vos ruches au sein de votre futur rucher.
  • NQuelle orientation pour vos ruches ? Faut-il un fort ensoleillement ? ou au contraire un peu d’ombre pour les fortes chaleurs estivales ? etc. Tant de questions auxquelles vous allez trouver des réponses.
  • NDans de nombreux domaines, les obligations légales peuvent parfois freiner nos élans. Nous allons les aborder en détail et vous verrez qu’une fois éclaircies, il est très facile de s’y conformer.
  • NPositionner une ruche doit obéir à certaines règles en terme de voisinage. Vous allez découvrir qu’il est presque toujours possible de placer une ruche où bon vous semble, même contre une limite séparative.

Se procurer ses futures abeilles

 

  • NDe nombreuses races, vantées pour leurs mérites, sont proposées à l’achat via différents types de marchands. Nous allons régler cette question en se basant sur la pérennité de nos colonies.
  • NAu-delà de la race, l’origine des abeilles a une importance de premier ordre. Je vais vous exposer toutes les possibilités, leurs avantages et inconvénients ainsi que mes préférences en la matière et surtout pourquoi.
  • NToujours dans un esprit de conduite simple et naturelle, vous allez apprendre à identifier les qualités recherchées pour vos futures abeilles.
  • NIl existe plusieurs façons de vendre des abeilles : essaims nus, ruchettes 3/4/5/6 cadres, ruche complète etc. Je vais vous aider à y voir plus clair et surtout à adapter votre achat en fonction du moment, du lieu et de l’origine.

Des résultats concrets et immédiats

Lorsque vous aurez mis en pratique le 1er module, vous aurez déjà établi une liste d’au moins 3 emplacements potentiels pour votre futur rucher, et vous les aurez passé dans un filtre pour éliminer ceux qui sont susceptible de limiter vos chances de réussite.

Apprendre l'apiculture

A la fin de cette formation, vous aurez l’emplacement de votre futur rucher, vous serez autonome dans la mise en place de vos ruches et dans la manière de se procurer les « bons essaims », et surtout, vous aurez le statut d’apiculteur amateur. 😍

Attention toutefois, ce n’est pas pour tout le monde. Cet atelier s’adresse uniquement aux gens motivés et suffisamment patients pour ne pas bruler les étapes. Chaque étape est importante. Passer une étape, même pouvant sembler anodine, augmente le risque d’échec.

Comment ça fonctionne concrètement ?

Il s’agit d’une formation en présentiel.

Bien que je travaille à une formation en ligne pouvant apporter les même qualités que sur site, je n’y suis pas encore parvenu.

Ces modules sont accompagnés de fiches pense-bête qui vous aideront à ne rien oublier, ainsi que quelques ressources PDF pour tout avoir en main.

L’apiculture, il y a un avant et un après.

Vous avez enfin la possibilité d’imaginer votre jardin avec cette ruche dont vous rêviez posée au fond, ou encore les weekend passés sur votre rucher à visiter vos ruches et leur environnement.

Bien entendu, vous pouvez arriver au même résultat par vous-même avec quelques années d’expériences et de remise en question.

Ce que je vous propose c’est justement d’éviter ce parcours du combattant par lequel beaucoup sont passés et les nombreuses pertes qui en découlent par méconnaissance.

Quand on sait qu’un essaim vaut entre 120 et 200 euros, je peux vous assurer que perdre de 2 à 10 ruches par an simplement parce que l’implantation du rucher a mal été pensé, ou qu’on est passé à côté d’un point anodin mais essentiel, c’est quand même un peu dommage. Sans compter qu’on a le sentiment de passer d’apiculteur à tueur d’abeilles…

Vous pouvez immédiatement réserver votre place à cette formation en cliquant sur le lien ci-dessous.

Vous serez alors invité à inscrire votre adresse email où recevoir votre accès, puis vous serez dirigé vers une page de paiement sécurisé où vous devrez entrer votre prénom et où vous aurez le choix de régler pas CB ou compte paypal. Dès validation de votre règlement, vous recevrez la confirmation de votre inscription par email.

Cette formation est faite pour vous :

  • Même si vous n’avez pas de jardin ou de terrain à vous. Mais plus encore si justement vous disposez d’un emplacement. Vous allez voir qu’il est possible que l’emplacement auquel vous pensiez ne convienne pas.
  • Même si vous n’y connaissez rien à l’apiculture. L’apiculture ne convient pas forcément à tout le monde, mais est à la portée de tous. Il est temps de se débarrasser de ces idées reçues consistant à faire croire que l’apprentissage de l’apiculture est longue et fastidieuse.
  • Même si vous êtes déjà apiculteur, et justement dans ce cas, vous savez qu’il n’est pas rare de remettre en question ses pratiques. Lorsque ça arrive, l’apiculteur fait généralement une grande découverte, ce qui va radicalement changer sa manière de penser.
  • Même si vous habitez en ville, vous aurez la surprise de découvrir d’infinies possibilités à deux pas de chez vous. Vous pourrez alors allier WE à la campagne et apiculture.
  • Même si vous avez peur des piqures (sauf allergies). Tout le monde à peur de se faire piquer, tout bonnement parce que ça fait mal… l’apiculture ne peut en être exempte, mais on arrive à s’en prémunir et à s’en accommoder.

Dans la nature, l’abeille sait choisir un emplacement idéal pour sa survie. En « domestiquant » l’abeille, l’Homme lui retire cette faculté de faire ces choix. C’est pourquoi nous avons l’obligation de ne pas négliger ce point. La réussite de votre apiculture va dépendre en premier lieu de ça. D’un mauvais emplacement peut découler une mauvaise récolte dans le meilleur des cas. Parfois, les colonies sont victimes de maladies voire des mortalité dont les origines risquent d’être mal interprétée par l’apiculteur, ce qui peut durer plusieurs années.